qu'ils étaient doux ces jours
de mon enfance
toujours gaie sans soucis sans chagrin
je coulais ma douce existence
que me servent- elles tant de connaissances
a mon esprit vinssent
donner l'essor
on n'a pas besoin des sciences
besoin des sciences
besoin des sciences
lorsque l'on vit dans l'âge d'or
ô mon coeur encore tendre et novice
il ne connaissait pas la noirceur
de la vie en cueillant
les fleurs cueillant les fleurs
je n'en sentais pas mes caresses enfantines